lecture nocturne

La nuit était fraîche, Night commençait à sentir un grand manque de sang ainsi qu’une immense douleur. Elle se rappela ce que lui avait dit Olivier; si elle ne voulait pas mourir elle devait boire une goutte de son sang. Elle saisit la fiole, ses mains tremblaient, avala la goutte: c’était comme si elle venait de manger un bœuf entier. Tant mieux, comme ça: elle n’aurait pas à boire les tablettes de sang artificiel. Il fallait qu’elle continue la lecture des livres: rechercher à comprendre qu’un seul poème ne servait à rien, la solution était de tout lire et de d’en tirer une conclusion à la fin. Rien d’autre. Il y avait trop de bruit dans le pavillon et les gens allaient sûrement lui demander son nom; elle ne voulait pas mentir, alors elle se réfugia dans le parc. La brise remuait les branches les plus fines, le doux bruissement des feuilles était agréable à écouter. Quand elle estima c’être suffisamment éloignée elle s’assit sur un banc et reprit sa précieuse lecture. Night en était déjà à la moitié du livre; ces hommes écrivaient des paroles si magnifiques qu’il était difficile de s’arrêter.
Soudain, un volatil se posa à quelques mètres de la jeune fille: un corbeau.

"Bonjour maître."

Le corbeau avait croassé comme d'habitude quand il sentait l'odeur de son maître.Seulement,cette fois,les phéromones odoriféres se trouvaient sur un corps étranger.Les peronnes qu'ils avaient cotoyées suffisament pour su'elles portent son odeur étaient limitées.Encore plus dans cette académie.Il se résolut d'aller voir qui pouver bien retenir l'attention de son familier.Bien qu'il eut deja un avis sur le sujet.En conséquence,il ne fut guére surpris de trouver Night,en pleine lecture.La jeune damoiselle devait s'user les yeux à la lueur de la lune,afin de décrypter le livre.Il lui sourit quand elle le salua,avant de lui répondre,un rien moqueur:

Bonjour,Nigita.je vois que tu avances dans ta lecture.Tenter d'englober le texte dans sa totalitée en le lisant en entier est une bonne méthode,tu obtiendras sans doute des résultats.Mais une semaine est un délai bien court.Aussi,je te demande de ne traduire qu'un seul texte.Et de me livre tes impressions.

constatant qu'ele avait dans ce regard la lueur satisfaite que tout vampire avait aprés s'être rassasié,il se demanda si elle apréciait le sang.La fiole contenait bien plus de sang qu'il en fallait en vérité pour un mois.mais plus les jours passeraient,plus Night aprécirait le gout du sang.Ainssi,si elle cédait à la dépendance,il verrait qu'elle ne ferait pas une correcte poupée.Il caressa a tête du corbeau,qui regardait depuis tout à l'heure la jeune femme d'un air peu commode.Il se souvenait sans doute encore des instants ou elle l'avait attaqué,et où il s'était vaillament battu pour son maître.Cet oiseau était de loin son préféré,et il l'avait suivi depuis l'Italie,jusqu'a cet endroit paumé.Oliver le considérait presque comme son frére.La seule diférence était qu'il avait tué celui-ci.Il le prit sur son poing,et le rapprocha prés de la jeune femme.De toute façon,ces deux-la devraient apprendre à faire connaissance.Il s'assit,àla droit de Night,sur le banc,la laissant entre l'oiseau et lui.Regardant le passage où elle en était,il sourit.C passage était une des clés de voute du livre.Cela sautait aux yeux,le poém était quatre fois plus longs que la moyenne de ceux présents dans le livre.Ca ne pouvait pas lui échapper.La fin de satan...Le titre de ce passage.Il regarda attentivement le visage de la jeune femme,d'un air neutre.Il voulait savoir si elle pouvait décrypter cet endroit...

Bonjour,Nigita.je vois que tu avances dans ta lecture. Tenter d'englober le texte dans sa totalité en le lisant en entier est une bonne méthode,tu obtiendras sans doute des résultats. Mais une semaine est un délai bien court. Aussi,je te demande de ne traduire qu'un seul texte. Et de me livre tes impressions.

Elle écouta le précieux conseil de son maître,il avait raison: même en ne s’arrêtant jamais de lire une semaine ne suffirait pas à tous les lires dans leur totalité. Elle ne lirait donc que la moitié de chacun d’eux. Le corbeau n’arrêtait pas de la fixer et pas amicalement, non. Night ne l’aimait pas non plus celui-là: c’était à cause de lui qu’une cicatrice parcourait son magnifique visage. Si elle le pouvait; elle l’aurait cuit à la broche! Son maître le déposa à côté d’elle, autant vous dire que la tension était palpable. Ne voulant pas faire de rature en essayant de tuer le piaf, le jeune fille se replongea dans sa lecture. Olivier jeta un coup d’œil à la page où elle en était, il sourit. Le titre su passage était la fin de Satan… à la fin du poème, elle remarqua qu’il était plus long que les autres, elle fronça les sourcils, pas sûre de comprendre. Était-ce normal? Elle le relut, regarda son maître d’un air interrogatif. Replongea son nez dans les pages. Tourna rapidement les pages pour voir si c’était le seul, sans résultat. Ce poème était plus long que les autres; il cachait forcément quelque chose, mais quoi?

*Tu touches au put demandé par ton maître…* lui souffla la voix.

Elle regarda à nouveau l’oiseau, qui la fixait toujours.

*Et si…c‘était l‘oiseau qui…*
Le doute s’installa. Elle tendit la main au-dessus de sa tête, hésitante, elle la posa sur les plumes noir. Voyant qu’il ne réagissait pas, elle la caressa doucement…

La jeune fille semblait avoir remarquer quelque chose à propos du corbeau.Pour Oliver,cela sautait aux yeux,mais Night n'avait pas semblé le remarquer.Il était possible que ceratins certains animaux soient des vampires.Aprés tout,si de nombreuses représentations chrétiennes montraient les loups,les chats et les corbeaux comme des animaux maléfiques,c'est qu'il y avait une raison.Et ce qu'il nommait le lien du sang,permettait aux animaux hémophiles et aux vampire de communiquer.
bref,le corbeau et ele allait pouvoir s'échanger de nombreux conseils.Ce drnier voulait d'ailleurs communiquer avec ui.Il lui ouvrit son esprit et reçut le message suivant:

Ton élève a mis du temps avant de comprendre ce que je suis réélement,Nealuchi.Toutefois,elle a un certain potentil,tu vas bien t'amuser.

souriant encore une fois,apparemment ans raison,comme d'habitude,Oliver ne put s'empecher de repenser à son ancien élève.Le corbeau l'avait inondé de messages,pendant plusieurs nuits,en l'empéchant de dormir,et en le rendant fou.Tout ça parcequ le profond imbcile avait osé comparé l'animal à un corbeau normal.Il se tira de ses joyeux souvenirs,et regarda ladamoisell,attendant une réaction de sa part,qui serait surement distrayante.Il était clair qu'elle serait désarçonnée par sa découverte,et il faudrait en profiter pour briser un peu plu son esprit.Il avait été exeptionellement clément avec elle,jusqu'a présent.Et dire qu'elle ne savait toujours pas à quel point une simple cravache,bien utilisée,pouvait s'avérer distrayante...

Ses méninges travaillaient à fon, elle était proche du but; ce texte était la clef. Quel était ce message? Relisant les lignes tellement de fois: qu’elle les connaissait par cœur. Elle avait plus l’impression d’apprendre le poème plutôt que d’essayer de le déchiffrer dans toute sa complexité: Night ne se sentait pas assez intellectuelle pour y arriver. Mais elle ne devait- ne voulait- pas décevoir son maître, qui de plus: se tenait juste à côté d’elle, observant ses faits et gestes. C’était très dérangeant: on aurait dit qu’il attendait un faux mouvement, une parole interdite qui aurait provoqué sa mort dans la seconde suivante. Au final, elle ne bougeait plus, c’est à peine si elle osait respirer. Avec l’oiseau; ils se regardaient encore droit dans les yeux l’un de l’autre, lui caressant doucement le sommet du crâne.

*Si tu pouvais m‘aider cela serait super…* se dit-elle mélancolique.

Elle reprit sa position initial avant qu’Olivier n’arrive. Un silence mort régnait en maître absolu, on entendait seulement le bruissement des arbres provoqués par le vent. La jeune fille était tout de même intriguée par son maître: quel événement dans sa vie avait fait qu’il soit ainsi aujourd’hui? Si elle posait ce genre de questions; mort s’en suivrait aucun doute la dessus… Ou était-ce possible d’avoir un tel caractère de naissance? Elle ne le saura jamais. Le comportement de Night, lui, pouvait être justifié par son passé, sa vie. Elle n’avait pas eue une enfance très facile: son seul faux pas avait tout bonnement valut un rejet total de la part de ses camarades de classe. Le monde était vraiment cruel et injuste; il ne ressemblait pas à celui que l’on nous fait miroité, enfant, dans de magnifiques contes où les méchants sont toujours punis et les gentils vivent heureux jusqu’à la fin de leurs jours. Foutaises! Night comprit rapidement que ce n’était que des sornettes, des mensonges aussi gros qu’une montagne!

Le silence était pesant, elle mourait d’envie de faire la conversation avec son maître, mais elle avait trop peur de dire quelque chose qui pourrait l’irriter et qu’il la tue. Avant de dire n’importe quoi elle réfléchit à une question qu’il ne réveillerait la colère de l’homme. Cela n’était pas facile, toutes ses interrogations étaient d’ordre… intime et personnel, trop risqué. Night finit par trouver:

"Maître, comment est-on traité lorsque l’on est de rang pure?"

Le risque était gros, mais, comme on dit: qui ne tente rien, n’à rien…

Il regarda l'oiseau et sa nouvelle disciple,et hocha la tête,satisfait,conformément à ce qu'il pensait,elle n'avait pas eu de réaction ennuyeuse comm couiner de peur ou de surprise.Ce qui le défrisa un peu plus,c'est qu'elle avait osé lui poser une question sur son statut.elle différait tout le temps de ce qu'on pouvait prévoir d'elle grace à son profil,et la dresser allait être compliqué.Il prit la parole,car la question était assez ambigue...en effet,il ne savait pas si il devait répondre honettement ou bien mentir.Tout ses actes étaient calculés à l'avance,et le terrain inconnu sur leque évoluait Night lui semblait dangereux.Il se décida à répondre évasivement:

les gens rampent et ont peur de toi.Parceque tu détiens une puissance et des pouvoirs qui défient l'entendement.Quand en plus tu es assez doué dans les arts de ladomination,ils t'évitent comme la peste...

Oliver avait chassé tout sourire de son visage.Contrairement à ce qu'on pouvait croire,il cherchait la présence des autres,c'est juste qu'il ne savait pas comment faire pour attirer des amis...Puisqu'elle lui posait des questions,il allait lui aussi jouer à ce jeu.il prit la parole,et formula sa question:

J'aimerais que tu me renseigne sur les symptomes exacts de la dépendance.Jusqu'ici,je n'ais pu interroger mes marionettes,qui se mettaient à pleurer dés que j leur en parlais.Il faut dire aussi que tu n'es que la troisiéme à être aussi bien traitée.

Il avait demandé une question qui pourrait blesser la jeune fille,car rappeller les symptomes d'une faaiblesse n'était jamais agréable...mais il savait qu'elle répondrait.

Night craignait la réaction de son maître: elle ne souhaitait pas qu’il mette fin à ses jours, car grâce à lui elle avait enfin trouvé une raison de vivre. Même si cette raison n’était pas très louable en soit, c’était assez suffisant pour continuer son chemin. Elle serait prête à le suivre n’importe où et faire tout ce qu’il lui ordonnerait de faire; Olivier ou plutôt son maître: était la seule personne depuis des années à s’intéresser à elle, une pauvre fille qui ne vaut rien. Avec l’homme elle se sentait quelqu’un d’autre: avant on ne la remarquait pas, à présent elle à l’impression d’être importante.
Olivier répondit à sa question sans laisser aucune émotion transparaître sur son somptueux visage crème:

les gens rampent et ont peur de toi.Parceque tu détiens une puissance et des pouvoirs qui défient l'entendement.Quand en plus tu es assez doué dans les arts de ladomination,ils t'évitent comme la peste...

Night ne comprenait pas très bien ce qu’il voulait dire; entendait-il que la haut société était crainte de tous? La jeune fille portait plutôt du respect pour ces personnes-là que de la peur. Elle était naïve, car elle ne connaissait rien de cette vie, au contraire de son maître, qui à toujours vécut avec eux: alors si il décrivait la haute société ainsi, c’est qu’elle était ainsi. Il n’y avait rien à contre dire. Malgré ces paroles peu encourageantes, Night voulait tout de même y goûter: elle savait qu’elle en souffrirait probablement, qu’elle aurait peur et qu’elle se retrouverait avec des gens encore bien plus dangereuses d’Olivier. La jeune fille était plongée dans ses réflexions ,une fois de plus, son maître l’en tira en lui posant une question à son tour:

J'aimerais que tu me renseigne sur les symptomes exacts de la dépendance. Jusqu'ici,je n'ais pu interroger mes marionnettes,qui se mettaient à pleurer dés que je leur en parlais. Il faut dire aussi que tu n'es que la troisième à être aussi bien traitée.

Très surprise qu’il pose une question sur son état; elle en resta quelque peu bouche bée. Il l’avait appelée marionnette… après tout, peu importait le nom qu’il lui donnait cela n’était pas capital. Night réfléchit à sa réponse; elle n’avait ressentit l’envie de son sang qu’une seule fois, elle essaya tout de même d’être explicite dans sa réponse:

"Et bien…depuis hier je n’ai bu qu’une seule goutte comme vous me l’aviez dit. J’ai ressentis une grande soif de sang, plus avide que jamais; j’aurais pu manger un bœuf entier! Mais quand j’ai avaler la goutte; cela c’est tout de suite estompé, et j’avais effectivement l’impression d’avoir manger un bœuf… "

Elle ne pouvait pas être plus claire; cela c’était passé de cette manière, elle n’avait rien enlevé rien ajouter à son récit.

» Un peu de lecture [Libreeuuuuuh]